Conditionnement de produits traiteurs : comment augmenter la vitesse de production en obtenant des valeurs d’oxygène inférieures à 0,5% ?

Une nouveauté pour l’industrie traiteur Les salades composées des rayons traiteurs rencontrent un grand succès auprès des consommateurs. Emballées dans des pots plastiques ou en matières recyclables, à base de couscous, carottes ou autre pâtes et produits régionaux, elles offrent des expériences gustatives innovantes et une alternative aux traditionnelles salades à base de mayonnaise. Ces nouvelles recettes constituent pour cette industrie de nouveaux défis en matière de production. En effet la tendance depuis de nombreuses années est aux emballages refermables et écologiquement responsables. La durée de conservation prolongée, la fraicheur et la constance dans la qualité du produit doivent être garanties, tout en maintenant son aspect visuel tout au long de la durée de conservation. Pour respecter ces contraintes, il faut alors sceller les contenants avec un taux d’oxygène résiduel le plus bas possible. C’est d’autant plus vrai pour les produits contenant peu ou pas de conservateur. Jusqu’à présent, on obtenait grâce à la technologie utilisée d’évacuation / injection de gaz (MAP), un taux d’O2 < 1 %, seulement au détriment des cadences et de la production. Grâce à ce nouveau système d'injection de gaz développé par GRUNWALD, il est désormais possible de produire à pleine vitesse, c'est-à-dire jusqu'à 40 cycles/min, et d'atteindre simultanément des valeurs d'oxygène résiduel de < 0,5 % dans l'espace de tête du pot. De nouvelles recettes avec moins ou sans conservateurs sont désormais réalisables car le pourcentage d'oxygène restant dans l'espace libre du gobelet est très faible. D’autres avantages apparaissent également tels que : - Diminution de la consommation d'énergie - Pas de pompe à vide nécessaire - Moins de consommation de gaz - Meilleur rendement de la machine - Augmentation de la production La société Grunwald a ainsi posé un jalon important pour une production optimisée et économique et permet désormais d’obtenir des valeurs d'oxygène résiduel inférieures à 0,5 % et cela à pleine vitesse (40 cycles/min.).